9 octobre 2012
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« L’œuvre peuplée d’une multitude de figurines en fibre de verre, ‘théâtralise’ la cruauté des camps d’extermination nazis…
A l’image (du) Triomphe de la mort de Brueghel, l’enfer est ici un paysage envahi par des personnages cruels, belliqueux, démoniaques et par des individus hagards, terrifiés, sacrifiés sur l’autel de la haine. Les soldats nazis sont à la fois maîtres et esclaves de leur propre système de déshumanisation…
L’expression babelienne de No woman No cry expose la part maudite de l’humanité dans la tradition des sept péchés capitaux qui hantent l’Occident chrétien depuis les temps moyenâgeux.»
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Extrait du catalogue de l’exposition Babel
(invenit editions)
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En surplomb du carnage, impassible sur son promontoire rocheux et protégé de ses gardes, squelettes en armes penchés un peu curieux au-dessus de son épaule, Hitler peint son portrait de manière cubique, art qu’il considérait comme dégénéré…
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